On fera semblant d'être heureux...

11 janvier 2009

Je vais tenter de rassembler mes souvenirs. Jeudi soir d'abord, alors que je devais rentrer tôt, je me retrouve dans Le Marais à boire un verre. Un verre, ça va... Mais, un appel de mon pote I. a pour conséquence de m'en faire boire un deuxième puisqu'on s'est retrouvé au Freedj, puis à l'Open, puis chez moi. Il devait être 3h30 du mat' quand je me suis couché.
Vendredi, quelle surprise, j'étais en forme au bureau et vendredi soir, j'avais vraiment l'envie de sortir. Je passe deux ou trois coups de fils : misère. Tout le monde est couché-grippé ou a la flemme de sortir par -8°C. Je finis par convaincre le petit choupinou un peu follasse mais sexy que ça doit être bien au Social Club. 2h du mat', nous y étions. Soirée électro, clientèle branchouille mais pas gay. Pas de problème pour mon choupinou qui de toute façon s'assume. Ho, il s'est fait traiter de PD une fois ou deux, et a envoyé deux claques à un mec à la sortie, mais heureusement un videur était de son côté, estimant qu'il avait raison de se défendre.
Nous sommes repassés chez moi vers 5h30, et repartis pour un after vers 7h30, re-rentrés vers 11h (il faisait jour c'était l'horreur), puis avons fait tac-tac avant de dormir (samedi donc) jusqu'à 17h.
20h30, gentil Malgache (enfin rentré d'Espagne) a débarqué et nous avons siroté quelques verres samedi soir dans le Marais avant de nous coucher tôt : 2h. Ce dimanche, ce fut tac-tac, puis ballade et ciné.

Je n'ai pas osé regarder les infos... trois semaines maintenant qu'Israël s'excite sur Gaza. Vous savez ce bout de terre où on a parqué plus d'un million de personnes. Seul endroit de la planète où les gens ne sont pas des citoyens, n'ont pas de passeport et où on les bombarde sans qu'ils aient la possibilité de fuir.

"Toi et moi, dans tout ça.
On n'apparaît pas.
On se contente d'être là..."